Depuis 18 mois, je me paye des infections urinaires à répétition. Je me demande si ce ne sont pas mes ovaires qui me causent ces infections. Est-ce-que quelqu'un est dans le même cas que moi ?
A oui, j'oubliais Noémie. Est-ce-que tu sais si l'association à besoin d'une diététicienne ? Je recherche du travail depuis 3 ans, mais avec mes différents handicaps personne ne veut se mouiller à m'embaucher pour l'instant. Je recherche un mi-temps, si cela intéresse l'association. Le télé-travail ne me fait pas peur, si l'on me forme. J'avoue que travailler pourrait m'aider à sortir de ma déprime. Et si cela peut aider les autres SOPK, cela fait une pierre 2 coups (tout bénéf, tout ce que j'aime :D).
Merci Noémie. C'est vrai, c'est un syndrome à symptômes compliquées. Le pire, c'est qu'il n'y a aucun traitement. Je ne tolère pas les traitements hormonaux et les traitements à base de plantes ne sont pas assez efficaces.
Quoi faire dans ces cas-là ? C'est une bonne question.
C'est le pire avec ce syndrome... On ressent toujours quelque chose... Et si en plus on cumul avec d'autre problème.. Je comprends que tu sois à bout et puis on a bien le droit des fois. On a le droit d'être en colère, déprimé, anxieuse, désespéré. C'est pas simple ! Faut aimer son corps mais le même qui nous fait tant souffrir xD ce n'est pas simple 😅 force à toi !!!
Je prenais varnoline continue. J'ai bien peur que dans nos situations à part s'armer de courage on ne peut pas y faire grand chose... Mais des fois ça fait du bien de se plaindre un peu ! ^^'
Je ne connais pas cette pilule. Elle jouait sur quelle hormone, œstrogène ou progestérone ?
Je n'ai pas spécialement l'habitude de me plaindre. Mais quand je le fais c'est qu'il y a un gros problème et/ou que je suis à bout. Se faire transpercer le ventre par des lances depuis des mois est je pense un bon motif de plainte parce que c'est très loin très agréable. Ni le spasfon, ni le débridat ne fonctionne sur ce genre de douleur. Donc, je dois attendre que cela passe mais cela n'arrive jamais. J'ai tellement mal que cela fait plus d'un an que je n'arrive plus à m'alimenter correctement. J'ai perdu une vingtaine de kilos en moins de 6 mois en claquant des doigts, mais cela n'inquiète personne à par mon médecin traitant. On voit mes os, mais je n'ai pas encore assez perdu apparemment. Que faut-il que je fasse pour que l'on me croit sur parole ? Que je m'ouvre le ventre ? Désolée, je suis un peu déprimée en ce moment parce qu'il n'y a pas que la douleur des SOPK et des infections urinaires, il y a aussi mes douleurs arthrosiques qui s'en mêlent malgré qu'il fasse beau.
Oui, nous avons toutes besoin d'avoir beaucoup de courage pour affronter tout cela.
Avant le diagnostic de SOPK (avec ou sans pilule), je n'étais pas sujette aux infections urinaires. C'est vraiment depuis la première pyélonéphrite due à l'infection urinaire par entérobacter que cela a commencé à se répéter. Les échos pelviennes, je les fais par voie sus-pubienne (impossible de les effectuer par voie endo-vaginale donc cela ne vient pas de là).
Moi, je suis sous Cyscontrol fort d'Arkopharma. C'est à base de D-manose. C'est efficace également. Je ne mets jamais de vêtements serrés puisque j'ai tendance à beaucoup transpirer. Tous mes vêtement sont en coton pour la même raison. Malheureusement, le calvaire continue.
J'en ai parlé avec mon endocrinologue, mais la réponse est toujours "je ne sais pas". Une réponse qui a tendance à m'irriter un peu puisque ce n'est pas par l'opération du St esprit que nous avons tous ces symptômes.
Pour l'instant, je m'accroche 😀. Mais, j'avoue qu'en ce moment c'est dur avec la douleur causée par la dernière infection.
Pour ma part, avant la découverte opk, sous pilule donc, j'étais déjà assez sensible aux infections urinaires. Je trouve que depuis l'arrêt pilule, les infections se sont accentuées. Ne voulant pas prendre d'antibio à chaque fois, je prends uritis du laboratoire nhco qui marche hyper bien sur moi des que je fais une infection. Après lie ou pas... Difficile de savoir... Le syndrome pouvant tellement varier d'une femme à l'autre...peut être les échos pelviennes d'aide pas... Peut être pas... Le tout c'est de trouver ton équilibre pour les éviter au mieux. (culottes en coton, pas de vêtement serré etc...). A tu penser à en parler au medecin ou gyneco ?
Courage à toi, je devenais folle aussi avec ça, j'ai fini par trouver un bon équilibre.
Coucou, je te dirai de les contacter directement. Ça ne peut qu'être bénéfique une rubrique diététique !
A oui, j'oubliais Noémie. Est-ce-que tu sais si l'association à besoin d'une diététicienne ? Je recherche du travail depuis 3 ans, mais avec mes différents handicaps personne ne veut se mouiller à m'embaucher pour l'instant. Je recherche un mi-temps, si cela intéresse l'association. Le télé-travail ne me fait pas peur, si l'on me forme. J'avoue que travailler pourrait m'aider à sortir de ma déprime. Et si cela peut aider les autres SOPK, cela fait une pierre 2 coups (tout bénéf, tout ce que j'aime :D).
A +.
Flora.
Merci Noémie. C'est vrai, c'est un syndrome à symptômes compliquées. Le pire, c'est qu'il n'y a aucun traitement. Je ne tolère pas les traitements hormonaux et les traitements à base de plantes ne sont pas assez efficaces.
Quoi faire dans ces cas-là ? C'est une bonne question.
Bisous.
Flora.
C'est le pire avec ce syndrome... On ressent toujours quelque chose... Et si en plus on cumul avec d'autre problème.. Je comprends que tu sois à bout et puis on a bien le droit des fois. On a le droit d'être en colère, déprimé, anxieuse, désespéré. C'est pas simple ! Faut aimer son corps mais le même qui nous fait tant souffrir xD ce n'est pas simple 😅 force à toi !!!
Re coucou Noémie,
J'ai oublié de te demander : Qu'est-ce-que tu prenais comme pilule ?
Coucou Noémie,
Avant le diagnostic de SOPK (avec ou sans pilule), je n'étais pas sujette aux infections urinaires. C'est vraiment depuis la première pyélonéphrite due à l'infection urinaire par entérobacter que cela a commencé à se répéter. Les échos pelviennes, je les fais par voie sus-pubienne (impossible de les effectuer par voie endo-vaginale donc cela ne vient pas de là).
Moi, je suis sous Cyscontrol fort d'Arkopharma. C'est à base de D-manose. C'est efficace également. Je ne mets jamais de vêtements serrés puisque j'ai tendance à beaucoup transpirer. Tous mes vêtement sont en coton pour la même raison. Malheureusement, le calvaire continue.
J'en ai parlé avec mon endocrinologue, mais la réponse est toujours "je ne sais pas". Une réponse qui a tendance à m'irriter un peu puisque ce n'est pas par l'opération du St esprit que nous avons tous ces symptômes.
Pour l'instant, je m'accroche 😀. Mais, j'avoue qu'en ce moment c'est dur avec la douleur causée par la dernière infection.
Bisous.
Flora.
oHello,
Pour ma part, avant la découverte opk, sous pilule donc, j'étais déjà assez sensible aux infections urinaires. Je trouve que depuis l'arrêt pilule, les infections se sont accentuées. Ne voulant pas prendre d'antibio à chaque fois, je prends uritis du laboratoire nhco qui marche hyper bien sur moi des que je fais une infection. Après lie ou pas... Difficile de savoir... Le syndrome pouvant tellement varier d'une femme à l'autre...peut être les échos pelviennes d'aide pas... Peut être pas... Le tout c'est de trouver ton équilibre pour les éviter au mieux. (culottes en coton, pas de vêtement serré etc...). A tu penser à en parler au medecin ou gyneco ?
Courage à toi, je devenais folle aussi avec ça, j'ai fini par trouver un bon équilibre.
C