Le SOPK dans les médias

Pour la toute première fois dans les médias sociaux, Kelly présidente de SOPK Europe (alors appelée Esp’OPK) a été interviewée par les équipes de Konbini, pour aborder notamment son parcours et la prise en charge sexiste du SOPK.

Emelyne, vice-présidente de SOPK Europe (encore appelé Esp’OPK au moment de l’interview), revient sur son parcours avec le SOPK. Un diagnostic à l’adolescence et de nombreux symptômes (surpoids, alopécie androgénétique, insulinoresistance, aménorrhée, etc.) qu’elle a appris à manager avec le temps.

Dans cette interview en duo, Kelly, présidente de SOPK Europe, et Emelyne, vice-présidente, se livrent à un exercice difficile. Chacune se prête à la lecture d’une lettre adressée à leur corps et au SOPK. Une interview forte, riche en émotion qui revient sur leur parcours avec un œil différent. 

À l’occasion du 3e mois de sensibilisation au SOPK, Kelly Lescure, présidente de SOPK Europe à reçu les équipes de M6 pour une interview qui à été diffusée au JT du soir. Retour sur son parcours et son quotidien, ce reportage fût le premier format 100% dédié au SOPK à la télévision.

Dans cette interview pour Athenadao, Emelyne revient sur les enjeux qui concernent le SOPK. “Une maladie négligée, incomprise et minimisée” : c’est ainsi qu’elle décrit le syndrome au travers de cet échange. Un interview qui révèle sans tabou la nécessité de l’engagement de SOPK Europe.

Dans cette interview pour OhMyMag, Kelly Lescure, présidente de SOPK Europe, nous parle de son diagnostic et de la façon dont on a refusé de la prendre en charge en raison de son âge et de son surpoids. Un récit malheureusement trop commun…

7 fois plus de tentatives de suicide chez les personnes touchées par le SOPK. Dans cette interview pour Simone Média, Kelly Lescure aborde le volet psychosocial impacté par le syndrome. Troubles anxieux, dépression, troubles du sommeil, la santé mentale fait partie des conséquences encore peu connues et mal considérées du syndrome des ovaires polykystiques.

Il n’existe pas de traitement curatif pour le SOPK… Dans cette interview, Emelyne nous parle de la façon dont elle traite ses symptômes au quotidien et des différentes approches qui permettent de mieux vivre avec le syndrome des ovaires polykystiques.

Dans cette interview pour Athenadao, Emelyne revient sur les enjeux qui concernent le SOPK. “Une maladie négligée, incomprise et minimisée” : c’est ainsi qu’elle décrit le syndrome au travers de cet échange. Un interview qui révèle sans tabou la nécessité de l’engagement de SOPK Europe.